Les murs végétaux Air Cleanup améliorent la qualité de l'air intérieur
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Qualité Air Intérieur

La qualité de l'air intérieur en quatre points

Tout est fait pour la préservation de la santé : on soigne son alimentation, on fait du sport, on respire... on respire !

Qu’en est-il de la qualité de l’air intérieur ? Celui qu’on respire le plus souvent dans notre quotidien ?

Pourquoi la qualité de l'air intérieur est-elle essentielle ?

La qualité de l’air intérieur influe fortement sur le bien-être dans l’instant présent et énormément sur notre santé dans la durée...

L’air intérieur est 8 fois plus pollué que l’air extérieur

Le gouvernement français estime que 48 000 personnes décèdent prématurément chaque année à cause de la pollution de l’air extérieur. Or, l’air intérieur est encore plus pollué… et nous passons en moyenne 80% à 90% de notre vie dans des espaces clos. L’enjeu est donc de taille.

Les maladies respiratoires, un effet d’une mauvaise qualité de l’air intérieur

En plus des décès, il y a des risques de maladies chroniques. Des études ont démontré la forte influence d’une mauvaise qualité de l’air sur les maladies respiratoires telles que l’asthme et la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO). Pour l’OMS, l’asthme est la maladie chronique la plus courante chez l’enfant. En 2002, il y avait 235 millions d’asthmatiques dans le monde pour 334 millions en 2016. Cette augmentation de 30% est à mettre en parallèle avec celle de la population dans le même temps, moins de 12%.

Au-delà des nombreuses études, il est possible de se fier simplement à sa propre expérience. Combien y avait-il d’enfants asthmatiques dans un établissement scolaire il y a trente ou quarante ans ? Combien sont-ils aujourd’hui dans une seule classe ? L’augmentation est flagrante..

La mauvaise qualité de l’air intérieur est “une pollution de fond”

Pour le Pr. Bruno Housset, président de la Fédération Française de Pneumologie, “la pollution de fond”, c’est-à-dire celle de tous les jours, nuit énormément à la santé sur le long terme. Aujourd’hui, des alertes sont émises sur les pics de pollution dans une ville. La circulation est alors adaptée : véhicules interdits, réductions de vitesse… mais quelles sont les actions sur la qualité de l’air intérieur au quotidien ?

Qu’est-ce qui influe sur la qualité de l’air intérieur ?

La qualité de l’air extérieur influe sur celle de l’air intérieur puisque ce dernier se renouvelle avec le premier. L’inquiétude de ceux qui habitent ou travaillent dans une zone de forte circulation automobile est palpable. L’association Respire a étudié les écoles en Île-de-France et a trouvé que 682 étaient exposées à des niveaux de pollution de l’air dépassant les normes légales de dioxyde d’azote.
Il y a donc les polluants qui viennent de l’extérieur et qui finissent par se trouver coincés à l’intérieur. Mais la qualité de l’air intérieur est aussi fortement altérée par des polluants qui viennent de tout ce qui se trouve à l’intérieur d’un bâtiment. C’est tout particulièrement le cas des Composés Organiques Volatils (COV).

Les COV

Les composants organiques volatils (COV) sont une sous-catégorie des particules fines. Ils proviennent des hydrocarbures et des dérivés chimiques. Ils émanent de nombreux objets courants tels que les colles, les produits ménagers, les peintures, les vernis… Ils s’échappent aussi des meubles neufs, du bois aggloméré, des textiles, des planchers flottants, des fournitures de bureau ou scolaires… Ce sont là des sources nombreuses et variées qui sont présentes partout : dans le logement, à l’école, au bureau, dans les commerces…

Les conséquences des COV sur la santé

Les moins pires des COV sont des allergènes irritants pour la peau et l’appareil respiratoire, avec des répercussions conséquentes (développement de l’asthme par exemple). Certains COV sont reconnus ou supposés cancérigènes, voire mutagènes quand d’autres COV sont identifiés comme perturbateurs endocriniens.

La présence de certains COV entame les facultés intellectuelles et génère des troubles de la concentration et de la mémoire. La chaîne de télévision Arte a diffusé une émission très alarmante sur ce sujet.

La lutte contre le CO2 et les COV

Encore plus étonnante, la lutte contre le réchauffement planétaire a un effet néfaste sur la qualité de l’air intérieur. Pour éviter la déperdition de chaleur des bâtiments, l’accent est mis sur leur isolation par les constructeurs. De plus en plus étanches, les locaux d’habitation ou des espaces professionnels conservent un l’air intérieur plus pollué que l’air extérieur, gardant la pollution bien au chaud, à l’intérieur.

Comment mesurer la qualité de l’air intérieur ?

Comment savoir si la qualité de l’air intérieur de son espace est mauvaise ? Il faut la mesurer, soit en engageant des spécialistes soit en installant soi-même des capteurs.

Engager un spécialiste

De nombreuses sociétés sont spécialisées dans la matière. Ingienair, Air Conseil et Ethera Labs proposent par exemple de faire un diagnostic de la qualité de l’air intérieur des locaux. Ils accompagnent le plus souvent l’état des lieux d’un certain nombre de conseils et préconisations.

Installer les capteurs soi-même

Des entreprises proposent des modules d’analyse d’air. Le RubiX PoD propose, par exemple, d’analyser l’air intérieur en continu, mesurant 8 paramètres différents, y compris les COV. Ainsi, l’évolution de la qualité de l’air

intérieur peut être suivie en temps réel. Cela permet de veiller au bien- être des usagers de l’espace concerné.

Comment améliorer la qualité de l’air intérieur ?

Il y a de nombreuses pistes pour améliorer la qualité de l’air intérieur des locaux, certaines plus prometteuses que d’autres.

Des ventilateurs ou des filtres

Traditionnellement, il y a deux moyens d’améliorer la qualité de l’air intérieur. Le métro parisien utilise d’énormes ventilateurs pour remonter l’air des stations du métro à la surface. L’air intérieur est ainsi renouvelé… au dépend de l’air extérieur. Tous les polluants du métro sont ainsi été poussés à l’extérieur.
Les systèmes de filtrage ont un défaut similaire. Ils captent les polluants, améliorant la qualité de l’air intérieur qu’ils stockent dans des filtres qu’il faut renouveler. Les anciens filtres doivent être traités… Cela revient donc à simplement déplacer les polluants d’un support (air intérieur) à un autre (filtres pollués).
La solution idéale est donc de capturer les COV, de les détruire entièrement, si possible sans créer d’autres déchets… C’est ce que fait Air Cleanup.

Le mur végétal d’intérieur Air Cleanup

Certaines plantes sont connues pour leurs vertus dépolluantes. Dans les murs végétalisés d’intérieur Air Cleanup, elles sont associées à des bactéries et des champignons. L’écosystème naturel ainsi constitué traite les COV de manière 100% naturelle. Dans un processus de co- métabolisation, les bactéries aérobies transforment des COV en co- substrat lui-même transformé en engrais par les champignons. Cela favorise la bonne pousse des plantes du mur végétalisé d’intérieur Air Cleanup. Plantes vertes, celles-ci prospèrent et transforment plus de CO2 en oxygène par photosynthèse.

C’est un cercle vertueux qui s’installe. Plus le mur végétal attrape de polluants, plus il produit d’engrais, plus les plantes s’épanouissent et mieux les usagers du lieu respirent.

Un individu inhale

entre 15 et 30 000 litres d'air par jour

en fonction de l'endroit où il habite et de ses activités